Être ostréiculteur, ce sont des efforts physiques importants et des gestes précis pour élever des huîtres de qualité.
Répéter les mêmes mouvements : laver, trier et calibrer, fatigue les bras et les épaules.
Manipuler des charges lourdes, comme les poches ou le matériel des parcs, met le dos à rude épreuve.
Ajoutons à cela des longues heures debout et des postures souvent contraignantes, et les risque de fatigue continue, voire de TMS (troubles musculosquelettiques), augmentent vite. La clé ? Des pauses régulières et le port d’un exosquelette pour limiter la fatigue et préserver son corps.